Sweet Silver Blues

Sweet Silver Blues -  - couverture Tim HildebrandtGlen Cook est bien connu pour ses Chroniques de La Compagnie Noire (The Black Company) mais moins pour sa série sur Garett P.I.. C’est donc de ce dernier, un détective privé vivant et exerçant dans la cité de TunFaire et plus particulièrement de sa première enquête (publiée) que je vais parler ici.

Garett est un détective privé, vétéran d’une interminable guerre dans le Cantard, et dans cette première enquête, il est approché par la famille (plus précisément – nous sommes après tout dans une histoire de détectives privés – par l’un des membres du sexe dit faible de la dites famille) d’un de ses anciens compagnons d’armes qui vient de mourir accidentellement et avait accumulé une « petite » fortune. La famille Tate souhaite que Garrett s’occupe de la succession, mais cela implique pour lui un retour dans le Cantard et la guerre.

Garrett ayant survécu, chose rare, à son premier périple dans le Cantard, il n’est guère enthousiasmé par un second voyage.

Cette aventure va introduire plusieurs personnages récurrents dans les aventures de Garrett. Dans la famille Tate, on trouvera Willard, le patriarche de la famille, mais aussi et surtout Tinnie et Rose, deux cousines, l’une rousse et l’autre pas, toutes deux la vingtaine, petites et attractives. On y trouvera également Morley Dotes, un métis d’humain et d’elfe noir végétarien (il tient d’ailleurs un restaurant végétarien qui sert de couverture pour ses autres activités moins légales), les triplets Roze, des hommes de mains née de trois mère différentes, Playmate, propriétaire d’une étable proche de chez Garett, Saucerhead Tharpe, un « garde du corps » et bien sur le Dead Man.

Le couple un peu particulier que forment le Dead Man et Garrett n’est pas sans rappeler celui que formaient Archie Goodwin et Nero Wolfe dans les romans de L’Homme à l’Orchidée, mais transposé dans un univers de fantasy.

Sweet Silver Blues à été traduit en français sous le titre La Belle aux bleus d’argent aux  édition L’Atalante.

Pour en savoir (un peu) plus :

En VO :

En VF :

Une réflexion sur “Sweet Silver Blues

  1. Pingback: Bitter Gold Hearts | Ceci n'est pas un blog littéraire...

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.